Le professeur Joël Aïvo n’est pas au bout de ses peines dans cette affaire où il est soupçonné d’atteinte à la sûreté de l’État béninois et au blanchiment de capitaux .
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La juge en charge des libertés n’a pas accédé à la requête des avocats du prévenu qui demandent une remise en liberté provisoire. Idem pour ses coaccusés  qui devront poursuivre leur séjour en prison. Après plusieurs heures d’audience à huis clos les avocats du constitutionnaliste sont sortis des locaux de la Criet le visage serré.
Rudolf SESSINOU