À peine ouvert, le procès de l’opposante Reckya Madougou connait déjà quelques malcompréhensions. Pour l’avocat français de Madougou, maître Antoine VEY, la Criet n’est pas assez indépendante.  « Monsieur le président, votre juridiction ne présente aucune garantie d’indépendance » a-t-il déclaré au juge. Il dénonce un coup politique. « J’ai tenu à ne pas participer à la suite de ce procès dont le dénouement m’apparaît inscrit à l’avance » a-t-il conclu avant de claquer la porte de la salle d’audience.

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