Dans la saga en cours de l’équipe féminine de football de la France, Hervé Renard, le cerveau derrière les Bleues, a entrepris une évaluation méticuleuse lors de leurs récents affrontements. Il prépare le terrain pour la sélection des 18 guerrières qui représenteront la France aux Jeux Olympiques de Paris 2024. Avec une liste préliminaire de 24 joueuses redoutables, la bataille pour la gloire olympique s’intensifie. À mesure que le compte à rebours vers les Jeux Olympiques s’accélère, les Bleues de Renard, ayant décroché une place dans le dernier carré de la Ligue des nations féminine, se préparent également pour l’extravagance footballistique à venir l’été prochain, avec le premier match prévu pour le 25 juillet. Les rêves de médaille d’or olympique prennent forme, mais tout le monde ne fera pas partie de l’aventure.
Certaines joueuses ont indéniablement perdu du terrain lors des derniers matchs, leurs performances oscillant de manière imprévisible. Estelle Cascarino, Amel Majri, Julie Dufour et Viviane Asseyi ont rencontré des défis et jettent le doute sur leur inclusion finale. À sept mois de l’événement majeur, une ébauche préliminaire de l’équipe se dessine déjà. Quinze joueuses semblent indispensables en laissant peu de places disponibles. Gardiennes, défenseures, maestros du milieu de terrain et stars offensives sont presque verrouillées. Il ne reste que trois ou quatre places, ce qui représente un dilemme pour Renard. Kenza Dali, Clara Matéo et Amel Majri, toutes meneuses de jeu talentueuses, se disputent une place convoitée. Leurs performances à venir seront cruciales, car le processus de sélection navigue dans les complexités du choix entre des options telles que Vicki Becho, Marie-Antoinette Katoto et la résurgente Delphine Cascarino. La compétition est féroce, et des visages familiers de l’équipe tricolore pourraient faire face à la déception.
Diane ATEKPO
