Connu pour son franc parlé sur les réseaux sociaux, Romilson kenzo est un artiste chanteur béninois vivant en France. Dans une interview accordée à DBNews, l’artiste parle de son art et de ses projets.

Merci de te présenter à nos amis lecteurs?

Je m’appelle Romilson Kenzo à l’État civil, SONON Roméo. J’étais un homme en uniforme de la marine militaire. Actuellement, je suis un artiste béninois, chanteur. Je fais de la musique moderne d’inspiration traditionnelle. Je chante la vie, l’amour, la méchanceté de l’homme pour ne citer que ces thématique ?

Que retenez du travail que vous abattez?

J’ai déjà fait beaucoup d’album. Mon premier lancement a eu lieu à Cotonou en 2014. Vous allez sur Google vous tapez Romilson Kenzo, vous auriez une idée sur mon fil d’actualité. J’ai fait mes débuts au CEG ENTENTE à l’image des jeunes tels que Nikanor, 100mak également et beaucoup d’artistes béninois.

Vous vivez actuellement en France. Comment se passe la communication autour de vos œuvres ?

Autour des œuvres, ça va très bien. C’est vrai que je suis France, mais mes musiques, sont diffusées chaque jour sur les chaînes.

Je suis aussi très présent sur les réseaux sociaux et à travers mes vérités et conseils beaucoup de personne se sont intéressés à moi et ma musique chaque jour que Dieu fait ça va.

Quelles sont vos relations avec les artistes au pays ?

Parlant d’artistes, je traite avec les artistes qui me respectent, que je respecte également. Des artistes qui connaissent ma valeur, je suis avec eux. Par exemple, Pélagie La vibreuse, Ricos Campos, Oluwa kemy, 100mak, et bien d’autres. Je suis en contact avec le staff Meko Prod, Nikanor, on est tout le temps ensemble.

Quels sont projets pour le futur ?

L’un de mes  projets pour la musique béninoise, c’est de mettre en place ma propre chaîne, ma propre télévision. J’ai déjà commencé par investir dans ce sens. Nous  nous allons mettre sur pied Kenzo TV France. La chaîne sera un peu comme Trace Africa. Mon souhait est que tous les artistes de l’Afrique et du monde  signent  des contrats avec nous, pour qu’on puisse faire la promotion de leur œuvre. La musique béninoise, sera la priorité. À long terme, nous allons organiser des soirées pour distinguer des artistes du pays, les faire voyager afin de les promouvoir également ici en France.

Propos recueillis par Blevert AKAKPO