Le processus de renouvellement des membres du Bureau de l’Union des Professionnels des Médias du Bénin (UPMB) déchaîne des passions comme à son habitude. Intrigues, mauvaise organisation, absence de reddition de compte sont autant d’éléments qui émaillent le processus électoral au sein cette association de faitière des journalistes. Consciente des tares qui caractérisent les médias au Bénin, la journaliste-écrivaine, Angela Kpéidja lance une pierre dans le jardin de ses consœurs et confrères. C’est à travers un texte publié sur sa page facebook ce lundi 29 août 2022. Lisez plutôt.

Envie d’un retour aux sources ce matin !

La presse béninoise et ses dérives !

Elle reproche tout et tout aux politiques. Pourtant, ses associations faîtières sont sous l’emprise de tous les vices du monde politique. En ce moment, ils se battent pour la présidence de l’une des associations professionnelles. Le pire, c’est que certains ne veulent pas faire de la reddition de comptes un élément déterminant dans le processus électoral.

Pour revenir à mes chères consœurs, je pense véritablement que les femmes devraient toujours s’employer à diriger autrement. On ne devrait pas promouvoir une femme parce qu’elle est femme, mais parce qu’elle le mérite. Et si jamais, du fait de la discrimination positive, une femme se retrouvait à la tête d’une instance de décision, elle devra mieux faire.

Aujourd’hui, la presse est au plus mal de sa forme. Nous nous plaignons de ce que l’aide de l’État à la presse n’est pas une réalité sous ce régime. Mais il est temps de nous mirer dans le but de nous soigner avant de jeter la pierre aux autres !!!

Bonne semaine de travail à tous !!!

Bris de Silence : Un an après, Angela Kpeidja ne cache pas sa fierté

 

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